News de la Black Library (France et UK) - 2012

Emperor a écrit:
Euh... vous arrivez à les télécharger vous ?

Horus Lupercal a écrit:

Emperor a écrit:
Euh... vous arrivez à les télécharger vous ?

Toujours pas, j'ai un message d'erreur concernant la "lisibilité" des fichiers à chaque fois sur le serveur d’hébergement.
Probablement corrompus.

Horus Lupercal a écrit:Toujours pas, j'ai un message d'erreur concernant la "lisibilité" des fichiers à chaque fois sur le serveur d’hébergement.
Probablement corrompus.

major luke el jonson a écrit:non mais vous y avais crus vous que BL nous sortirais un truc GRATUIT

moi aussi remarque ... mais ils vont faire croire au bug et pof si tu veux le gouli fond d'écran fais chauffer la carte bleus

Today I can finally reveal not one, but two of my Black Library novels. In case the picture above doesn’t give it away, one is Skarsnik, about the infamous night goblin warlord.

When noted academic Kaspar Wollendorp is called to the asylum of Schloss Werdentraum to hear the testimony of insane playwright Jeremiah Bickenstadt, he fears a wasted journey, only to discover that Bickenstadt once enjoyed the rough hospitality of Skarsnik, the king of Karak Eight Peaks himself.

What follows is an astounding story, as Bickenstadt recounts Skarsnik’s rise to power from scrawny runt to feared warlord. But when the reteller of the tale is a lunatic, and the tale was first told by a master liar, how much can truly be trusted?

Now to the other project. Sharp eyes might have seen this on Amazon. Yes, I’ve also written a Warhammer 40,000 novel called Baneblade. It’s about the tank of the same name. Although I wrote this book quite a while ago, and it is actually out some time before Skarsnik, the arcane nature of publishing dictates that I can say only that it’s about a young lieutenant of a noble house who joins a veteran baneblade crew. And that’s your lot.

Garvieloken a écrit:Sympa la photo du chaman Skarsnik avec son squig...

Fantastic news! The Primarchs has just become the seventh of the Horus Heresy titles to make the New York Times Bestsellers list, joining Thousand Sons, Prospero Burns, First Heretic, Nemesis, Age of Darkness and Know No Fear. We talked to some of the authors involved about what it means to receive this coveted title. Here’s what they had to say:

'It's a great and humbling honour to even write for such a prestigious series, let alone enjoy such huge success with it! I'm extremely pleased and proud to have been a part of The Primarchs and applaud my fellow authors in the collection and our esteemed editor. Last, but not least, my thanks to the legions of fans out there who bought and enjoyed it. This sort of thing wouldn't happen without your continued loyalty and support.' – Nick Kyme


‘For me being a New York Times Bestseller is just the absolute best. Gold standard. To know that my fiction is on the shelves and – more importantly - being read by so many people, is the best an author can hope for. A dream come true, really. It’s fantastic recognition and acknowledgement of the brilliant work done by all at Black Library.’ – Rob Sanders

‘Having a book appear on the New York Times Bestsellers list is a huge deal for me, and is an honour you have to earn every time. That The Primarchs is on the list is a reflection (crack'd or otherwise) on the quality of the writers and the fans combined, so thanks to all our readers for being the best, most loyal fans out there!’ – Graham McNeill

Il y a une phrase que l’on entend souvent dans les bureaux de Black Library. Je l’entends prononcée lors des événements, ou par mes collègues, et il paraît même que lors d’un BL Live, les gens pariaient sur le fait que je la prononcerais moi-même (j’espère que les enjeux n’étaient pas trop hauts, parce que je ne l’ai pas fait).

Porter deux chapeaux à la fois.
Je possède moi-même un borsalino, une casquette militaire, une casquette de sport, un chapeau d’hiver en fourrure et plusieurs bonnets. Je porte beaucoup de chapeaux, mais ce n’est pas de ça que je parle.

Pour faire simple, j’ai en quelque sorte deux rôles différents en ce qui concerne Black Library. Pendant la journée, je suis un éditeur, et le soir, tel un super-héros, je me transforme en auteur. Et chacun de mes deux alter-egos porte un chapeau différent respectivement un tricorne et un béret, le capitaine de navire et l’artiste…).

Le fait de porter deux couvre-chefs métaphoriques (tiens, je parle comme un super-héros, mais sans super pouvoir ou même un costume décent) me met dans une position unique (quoi que de moins en moins, au moins deux de mes collègues éditeurs ont pris la plume au moment où j’écris ces lignes). Je peux voir les choses du point de vue de l’éditeur, ce brutal maître de galère qui veut simplement que le roman soit livré à dans les temps quelle que soit la quantité de sang et de larmes versées. Mais il y a aussi le point de vue de l’auteur, créatif et incertain, qui n’est pas sûr du tout que les 142,000 mots de son manuscrit n’ont le moindre sens (même si ça en avait l’air pendant qu’il écrivait !), et qui ne souhaite que deux choses : A) que son éditeur soit cool avec le fait que le roman est retard et B) qu’il aime ce est en train de lire.

Il y a une étrange dichotomie entre ces deux disciplines opposées et complémentaires. En tant qu’éditeur avec une certaine expérience, j’ai une bonne idée de ce qui fonctionne dans une histoire, et de comment la déconstruire et reconstruire comme avec des pièces de lego afin d’en tirer le meilleur. Cela me permet d’organiser mes propres idées de manière plus efficace. En tant qu’auteur, je peux aussi compatir avec les doutes qui assaillent les gens créatifs et trouver le meilleur moyen de les soutenir.

La où il faut vraiment faire attention, c’est dans cette zone où les choses se mélangent. Par exemple, en tant qu’éditeur, je n’ai pas mon mot à dire quant à la sortie de mes romans, je laisse quelqu’un d’autre s’en occuper. En tant qu’auteur, je ne peux pas me contenter d’ignorer les dates de rendu, et je me dois d’avoir l’air désolé lorsque c’est le cas. Après tout, ce qui est valable pour l’un l’est aussi pour l’autre.

Garder cela en tête permet de se maintenir en équilibre, et c’est le meilleur conseil que je peux donner à quiconque porte deux chapeaux. Soyez conscients de où un rôle s’arrête et de où commence l’autre, et gardez les bien séparés l’un de l’autre (un bonnet et un borsalino ne forment pas une jolie combinaison). Mais soyez bien conscients des bénéfices que les deux s’apportent mutuellement.

Alors si jamais vous m’entendez parler de deux différents chapeaux, vous saurez que je ne parle pas de ce qu’il y a dans ma tête, mais plutôt de ce qu’il y a dedans.

À moins bien sûr que j’ai complètement perdu la boule et que je sois vraiment en train de porter deux chapeaux, auquel cas mettez-moi une couverture sur la tête et partez en courant !

Mortarion a écrit:Bah c'est passé inaperçu aussi parce que je voit pas l'intêret d'un tel message,ni son sens...

Alors soit je suis neuneu,soit je capte pas l'esprit grand briton...