News de la Black Library (France et UK) - 2012

Le fabuleux William King, auteur des series Gotrek & Félix et Space Wolves, à été nominee aux David Gemmel Legend Awards dans la catégorie Meilleur Roman de Fantasy 2011 pour Le Sang d’Aenarion, le premier volume de la trilogie Terion et Teclis.

Le premier est passé, et William King aussi ! Merci à tous ceux qui ont vote pour lui. Pourquoi est-ce que l’on vous raconte tout ça ?

Tout simplement parce qu’il faut encore voter pour la finale ! Suivez le lien ci-dessous pour aider le King à devenir une Légende. Vous pouvez voter dès maintenant, et ce jusqu’au 31 Mai. Soyez sûr de venir apporter votre soutient à William, et ainsi aider un auteur de Black Library à acquérir la reconnaissance qu’il mérite.

Cette semaine, mes romans de Gaunt L’Armure de Mépris, Seule la Mort (ce sont les volumes dix et onze, si vous voulez les lire dans l’ordre), et Légion (pour Horus Heresy) paraissent en français. C’est toujours quelque chose de spécial quand un livre se parait dans une nouvelle édition (et surtout dans une langue étrangère), et ce en partie parce qu’il va à la rencontre d’un nouveau public, et en partie parce qu’il se rappelle à mes bons souvenirs. Voici ce que je veux dire par là : Quand je travaille sur un nouveau roman (en ce moment, je mets toute mon énergie à écrire Pariah, la première partie de la suite des très attendues aventures de Eisenhorn et Ravenor), j’y consacre toute mon attention et mon imagination. Je me lève le matin en pensant à ce que je vais écrire pendant la journée, quand je n’écris pas à proprement parler, je gribouille des idées sur un bout de papier, et quand je vais me coucher, je pense au contenu des chapitres auxquels je vais m’attaquer le lendemain. Et tout cela devient vite très prenant. En ce moment, ma vie a comme un « goût de Pariah ». J’en sens l’influence dans tout ce que je fais, et où que j’aille. Si vous ajoutez à ça les autres petites choses que j’ai à écrire et les activités du quotidien, il ne reste pas beaucoup de place pour quoi que ce soit d’autre, et mes œuvres passées se retrouvent comme « compressées » dans un coin. Elles sont là, alignées sur une étagère derrière moi, à me regarder sagement en me rappelant l’époque à laquelle chacune d’elle remplissait mon horizon tout entier.
Mais quand elles redeviennent d’actualité, par exemple pour une nouvelle édition, je me les remémore, et cela me rappelle à quel point j’ai de la tendresse pour elles. C’est une chance incroyable de pouvoir me sortir de mon obsession du moment pour refaire connaissance avec de vieux personnages et de vieilles situations dont je suis la plupart du temps très fier. Et ces trois romans ne font pas exception. L’Armure de Mépris (qui est d’ailleurs l’un de mes romans préférés), est l’une des aventures de des Fantômes les plus stressantes, alors qu’ils prennent part à la sauvage libération de la planète Géréon (que l’on a découverte dans Le traître).

Cette histoire de guérilla et de résistance a d’ailleurs été particulièrement inspirée par la résistance Française de la 2nde guerre mondiale. Ce roman est en partie une aventure des fantômes (avec un adversaire non-humain particulièrement mémorable), et en partie une description de l’échelle inhumaine de la guerre dans le monde de 40k, du point de vue d’un jeune soldat. C’est une chose rare dans un roman de Gaunt, mais quasiment une moitié du bouquin est consacrée à la description de la guerre et l’impact qu’elle au-delà de ce que vivent Gaunt et ses fantômes.

Seule la Mort est souvent cité comme étant le roman de Fantômes le plus populaire. La narration est plus en retenue, avec côté claustrophobe par rapport à l’échelle épique de l’Armure de Mépris. C’est l’histoire d’un siège, mais c’es aussi un roman des Fantômes avec des fantômes dedans… J’ai du mal à croire que je n’y ai pas pensé plus tôt. Si vous croyez avoir tout vu avec l’armure de mépris, préparez-vous à être surpris. En ce qui me concerne, je trouve que c’est une très bonne fin au quatrième arc narratif des aventures des Fantômes.

En ce qui concerne Légion… Il s’agit là de ma deuxième contribution à la série The Horus Heresy, et il est basé sur l’Alpha Légion. Il m’a donc semblé approprié que ce soit un livre sur le thème des secrets, et que des secrets y soient révélés. Et pas n’importe quels secrets, de vrais morceaux de connaissance approuvés par les Haut Seigneurs de Games Workshop. Je pourrais dire tellement de choses sur ce roman, y compris qu’il contient quelques-uns de mes personnages favoris – mais la plus simple et la meilleure recommandation est certainement que Aaron Dembski-Bowden n’arrête pas de me dire à quel point il adore ce roman.

J’espère sincèrement que les nouveaux lecteurs apprécieront lire ces trois romans autant que j’ai aimé les écrire (et que j’ai adoré m’y replonger cette semaine).

Maintenant je dois filer, ma nouvelle obsession… Euh, je veux dire Pariah, m’appelle.

C’est l’histoire d’un siège, mais c’es aussi un roman des Fantômes avec des fantômes dedans… J’ai du mal à croire que je n’y ai pas pensé plus tôt. Si vous croyez avoir tout vu avec l’armure de mépris, préparez-vous à être surpris.

He’s done it again.
Take a look at this awe inspiring new piece of Horus Heresy cover art from series artist Neil Roberts.
That right folks, two fallen primarchs facing off against an army of near-indestructible eldar revenants – awesome.
The eldar have been strangely absent for most of the Heresy, not that you can blame them. Just look at what happens when they try and take on the Emperor’s finest.
The primarchs themselves are the imposing giants in this picture. Army of Wraithlords or not, the eldar are going to have a hard time taking these two down.

If that’s got you geared up for more Horus Heresy action, you won’t have to wait long to enjoy the next book in the series. The Primarchs (whose cover is also done by Neil Roberts) will be available to pre-order tomorrow, so check back then to order yours.