[W40K] Du sang sur les bottes

Salut, vous m'avez tous donnés envie d'écrire (et je vous maudit mille fois pour ça, je connait rien d'aussi dur) alors je vous propose ce texte, c'est le début de l’odyssée de mon chapitre fait maison, les Blood Walker. J’espère que sa vous plaira, n'hésitez pas à donnez votre avis (surtout s'il est négatif, sa me permettra d'améliorer tout ça).

Froid…
Cette pensé l'occupait depuis… depuis… Il ne le sait plus vraiment… Les ténèbres était partout, et seul un léger  bruit ce faisait entendre, un battement régulier et lent, cela depuis aussi longtemps que le froid. Puis, un autre bruit ce fit entendre, plus diffus que le précédant. Il tendit l’oreille, cherchant à savoir ce que c'était…
TikTikClikClikClikTikClik…
Sa lui rappelait quelque chose, un souvenir remontait... c'était… c'était… comme un pianottement… Qu'est ce que cela voulait signifier ? Soudain, il sentit quelque chose se répandre en lui, et… hors de lui ? Non… c'est juste qu'il avait une partie de lui qu'il ignorait jusque la. Le battement était de plus en plus rapide, s'accélérant au fur et à mesure que son corps se réchauffait. Un flot de souvenir remontait, il avait tué… Énormément tué… Qui était-il pour avoir massacré comme il l'avait fait ? Puis il se le rappela. Et il comprit. Il était un space marine, et pas n'importe lequel. Un terminator, l'élite parmi l'élite.
C'était donc ça.
Il se rappela tout, son chapitre, sa compagnie, son escouade, ses frères, sa langue. Sa langue ? Il ne ressentait rien dans le bas du… du visage. Et il se rappela cela aussi, la Waaagh Gorzod, son combat face au Big Boss, et la perte de sa mâchoire. Il tenta de jurer, un grognement sortit à la place.
Une voix étrange se fit entendre
-Monseigneur, veuillez ouvrir les yeux.
Qu'est ce que sa veut dire ? J'ai pourtant les yeux ouvert ?
-Monseigneur, veuillez ouvrir les yeux.
Il le fit, un flot de lumière l'inonda pendant quelque instant.
Où suis-je ?
-Pour un réveil plus agréable, veuillez vous rappeler qui vous êtes.
Il sortit du caisson, se tournant vers la voix, qui se révélait n'être qu'un serviteur.
-Vous êtes à bord du croiseur d'attaque Sylmar, le vaisseau sortira du warp prochainement, nous sommes normalement en 768.921.M41.
-Hguaaarrh...
-Vous êtes attendu sur la passerelle.

Mort. C'était le mot le plus approprié pour décrire ce qu'ils voyaient.
-Ce n'est pas possible capitaine, vous devez faire erreur… C'est obligé…
-Négatif monseigneur, tout correspond.
-Recalculez quand même.
-Mais…
-C'est un ordre.
-Bien monseigneur.
Il pianota le terminal quelque instant. L'écran fit disparaître les mots un moment, puis ceux ci réapparurent.
Arnath asséna un énorme coups sur la machine avant de se retourner vers les autres.
-Mes frères... Eborn n'est plus...
-Putain de tyrannide.
De longue minute passèrent avant que quiconque ne parle, ce fut le capitaine du Sylmar, Londa Cern qui rompit le silence :
-Monseigneur, on vient de m'informer que l'on capte un signal à la surface de Kalli.
-Quel type ?
-Détresse.
-Amenez nous y, s'il y a un survivant, on doit le trouver.
-Il y a autre chose.
-Quoi ?
-Le signal indique qu'il provient du Fire of Purgatory.

L'ambiance était tendue sur la plate-forme de téléportation, dix silhouette en armure terminator se préparaient à l'inconnue.
-On a des infos sur ce qu'il y a en bas ?
-Peut-être rien, peut-être un nid grouillant, c'est pas ça l'important.
-Du moment que ça peut se tuer, sa me va.
-Murph !
-Tu devrais songer à arrêter d'essayer de parler.
-Grhup.
-Voila le sergent, on va pouvoir y aller.
Le ''sergent'' venait en effet de pénétrer dans la salle, portant son bouclier tempête et son fulgurant.
-Vous êtes sur d'avoir besoin du lance-missile sergent ?
-On n'est jamais trop armé capitaine.
Sur ces mot, il se mit en place. Les serviteurs s'agitaient autour de la plate-forme, puis le compte à rebours fut lancé.
-Dix
-Neuf
-Pourquoi on utilise la téléportation ?
-Huit
-Sept
-On a pas d'escorteurs, pour ça que tu porte une balise supplémentaire.
-Six
-Je m'en serais volontiers passé.
-Cinq
-Quatre
-Trois
-Deux
Dix voix et un grognement résonnèrent alors :
-Pour l'empereur !
-Un
-Zéro