[Les Treize Piliers de la Vengeance] - II - Raptor
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[Les Treize Piliers de la Vengeance] - II - Raptor
Eh bien voilà, j'ai entamé une petite nouvelle ce matin et viens de la finir, je vous souhaite donc une bonne lecture (et de beaux rêves )
- Spoiler:
Raptor
Dramatis Personnae :
Dreik : Reaver, clan des Éclats Pourpres
Kae'lys : fille d'Archon
Urien : Haemoncule
Cela avait débuté à la seconde où les têtes étaient tombées. Dans un déchaînement soudain, quatorze cerveaux avaient libéré leur fureur, dans une explosion de sens impatients et avides. Une avalanche de sensations avait déferlé : l’accélération, le vacarme, les hurlements, l’adrénaline et les stimulants, tout cela à la fois dans un mélange explosif de perceptions impossibles qui n’attendait que d’être lâché. Dreik avait lancé sa motojet dans le cri aigu de son moteur, et tout ce qui faisait sa raison d’être l’avait envahi de nouveau, comme un sentiment d’apaisement salvateur dû à une drogue infernale. Ses yeux sanglants surplombant un rictus acéré d’où perlait un fil de salive, il avait en l’espace de six seconde propulsé son corps à une vitesse défiant l’entendement, subi des accélérations que tout autre être vivant n’aurait pas supporté, abattu un concurrent et tranché sa tête au passage dans un rire hystérique. Dans le même laps de temps, tout avait disparu. Les cris de la foule, l’odeur du sang sacrificiel, sa liaison secrète avec Kae’lys, le raid à venir dans l’espace réel, tout s’était effacé pour laisser place à son obsession des performances. Toutes ses préparations allaient porter leurs fruits. Aérodynamique, motorisation, armement, poids, leurres, préparation physique, Dreik n’avait que les meilleures atrocités à offrir, et s’était forgé en conséquence une monture à même de les délivrer le mieux possible.
Les spires s’élevant à une hauteur vertigineuse, il savait qu’arriver le premier à leur sommet était crucial. Ainsi, après la décapitation obligatoire de l’esclave qui marquerait son passage, il aurait pu entamer une boucle pour plonger sur ses poursuivants et les mitrailler à loisir. La manœuvre était risquée, car être en première place voulait dire être la cible de tous. Dreik devait veiller à ce que ce premier revers soit expéditif sans s’exposer aux tirs adverses ni aux lames aiguisées qui en le croisant l’auraient tué sur le coup. Il avait donc adapté sur sa motojet une injection hautement inflammable pulvérisée directement après le rouet de compression, transformant son destrier en missile supersonique. Des tuyères auxiliaires avaient été montées le long du fuselage, lui offrant une vélocité dans les trois axes qui lui permettraient d’ajuster ses tirs et d’esquiver dans le même temps. Son arme éclateuse était bien entendu orientable via ses mouvements de tête, mais Dreik ne s’était pas arrêté là. Un calculateur balistique y avait été couplé, dans lequel il avait intra-chargé les données de son drône personnel. Celui-ci avait passé les jours précédents à écumer en toute discrétion les hangars de ses concurrents et avait cartographié toutes leurs motojets. Dreik avait ensuite été en mesure de localiser leurs points faibles et de les intégrer à son calculateur. Pour un obsédé de la performance comme lui, un tel procédé allait de soi : traiter ses cibles en un minimum de tirs et de temps, le tout doublé d’une rapidité foudroyante. Et jusqu’ ici, tout fonctionnait à merveille. Le départ lui avait octroyé une légère avance sur ses concurrents et il fonçait sous leurs tirs à travers les cieux noirs de Commoragh vers la première spire.
Les senteurs morbides l’assaillirent dès son arrivée dans l’alvéole. Il était habitué à l’odeur de mort qui régnait dans la Cité et aux cris qui l’accompagnaient. Seulement voilà, en dehors des courses il lui arrivait peu de sentir l’odeur du sang chaud, fraîchement versé. Dreik déposa le module qu’il tenait à la main en fronçant les sourcils et en passant sa langue sur ses lèvres. Une pellicule amère envahit sa bouche d’un goût sanglant, que son organisme perçut comme un aphrodisiaque puissant. Ne se laissant pas entraîner par ses instincts, il chercha le long des murs noirs et aiguisés et trouva ce qu’il cherchait dans la hauteur d’une ombre.
« - Toujours aussi prudente, même dans tes mises en scène. » dit-il en s’approchant. En guise de réponse, il n’entendit qu’un bruit semblable à la chute d’une plume, et sentit le contact d’une pointe sur sa joue. Non qu’il eût besoin d’identifier celle qui se trouvait avec lui, il remarqua du coin de l’œil la bague finement ouvragée que la main assassine portait.
" - Ne devrais-tu pas camoufler ce genre de possession ? N'importe quel fou saurait qui tu es en un seul regard ! Je ne t'apprendrai pas ce que ta charogne de père ferait s'il savait." dit Dreik, un sourire aux lèvres.
" - Laisse donc ce vieux fou gamberger, personne ne me voit sauf si j'en décide autrement !" répondit une voix douce. "Et laisse moi te rappeler, sombre idiot, qu'en termes de danger je suis bien moins avide que toi."
Dreik approuva, sans que son sourire l'ait quitté. Kae'lys ramena son bras contre elle et sortit de l'ombre qui jusqu'ici l'avait masquée.
" - Mes encens te plaisent-ils ? Le sang était vif il y a encore une heure. Je l'ai recueilli dans les geôles de la Tour de Chair juste après une dissection passionnante, les Haemoncules deviennent des pédagogues décents. D'ici quelques temps pourras-tu peut-être m'accompagner ? Si tu voyais la folie dans leurs yeux à chaque coup de scalpel..."
Elle avait dit cela en se mordant la lèvre inférieure, ajoutant à son charme dévorant. Dreik savait qu'elle jouait là-dessus et ne se faisait pas d'illusions sur les volontés de son amante. Sa robe finement détaillée était surplombée d'un corset noir dont Dreik se demandait s'il avait une réelle utilité, tant la chair était exposée. Kae'lys portait au cou un pendentif long et aiguisé, qu'elle avait volontairement laissé descendre de façon insolente entre les rondeurs de sa poitrine. Bien malgré lui, et malgré ses préoccupations, Dreik ne pouvait empêcher son sang de remonter dans sa gorge à flots écoeurants, à mesure que son désir grandissait.
" - Alors, quand rejoindras-tu leurs rangs difformes ? Te verrai-je un jour avec des protubérances dans le cul ?" avait ricané Dreik.
Elle le regarda de ses yeux noirs, prête à fondre sur lui, tant par rage que par désir. Il choisit de ne pas tenter sa belle, sachant que dans les bas-fonds, les mâles trop fougueux finissaient souvent dépecés. Combien d'Archon s'étaient montrés avides de luxure, quand après leurs ébats ils s'étaient retrouvés transformés en quartiers de viandes par des amantes trop nombreuses, voraces et insatiables ? Il savait que sous la beauté de Kae'lys se trouvait le même instinct, et son corps l'avait par ailleurs éprouvé plus d'une fois.
Il leva les mains en signe de résignation.
" - Bon, je vois qu'après tout tu n'es pas disposée à rire ces temps-ci. Est-tu venue pour assombrir davantage mon existence ? Ou vas-tu enfin m'expliquer ce qui te tracasse ?
- Il me faut un héritier."
Dreik en fut cloué sur place, les yeux ecarquillés. Il tenta d'assimiler la phrase de Kae'lys mais au bout de quelques secondes, il finit par lui demander l'inévitable.
" - Avec quelqu'un comme moi ? As-tu sombré dans la folie ? Une héritière de Cabale engendrant le fils d'un Reaver des bas-fonds ? Laisse moi rire, majesté. " Il avait feint une révérence exagérée.
" - Ecoute moi au lieu de m'envoyer balader ! Bien sûr que j'ai pensé à tout ça, tu me prends pour une imbécile ? Ne commets jamais cette erreur Dreik ! Mon père est persuadé que je finirai par engendrer un fils grâce à une union avec je ne sais quel abruti cabaliste. Sais-tu ce que ça voudra dire alors ?
- Oui je sais, tu seras la cible de tous les attentats possibles et imaginables, tout sera fait pour que ta progéniture meure. Peut-être que Vect lui-même se chargera de l'éventrer dans sa cuve. La Cabale de ton père n'est plus dangereuse depuis que Vect l'ait privé de ses propriétés génétiques."
Kael'ys avait baissé les yeux en revivant le rituel d'amputation de son père. Ses cellules avaient été perforées et vidées de leur essence, ce qui avait rendu l'Archon totalement stérile. Tous ses espoirs de descendance avaient disparu, en même temps que l'existence de sa fille le forcait à vivre dans la honte d'une progéniture soumise à son futur seigneur.
" - C'est pour ça que je t'ai choisi pour engendrer mon fils Dreik." Elle avait dit ça le plus sérieusement du monde, et Dreik eut l'impression d'avoir face à lui une inconnue. Une telle sincérité dans sa voix lui faisait voir une Kae'lys nouvelle.
" - Je ne sais pas ce qui me prend. J'ai un sentiment d'attachement pour toi. Pas au sens dépendant, pas au sens cruel qui nous est innée, mais autre chose..." dit-elle alors que toute tension érotique et carnassière avait disparu de la pièce.
Et pourtant, malgré ce calme funèbre, Dreik avait explosé.
La première spire fut atteinte en même temps que le mur du son, et le claquement sonore frappa alors que la tête de l'esclave sautait. Dreik en gloussa bruyamment tout en s'écrasant sous son propre poids lors de sa rotation ascensionnelle. La seconde dont il disposait était cruciale, il le savait.
Rétablissement, vite. Premier vecteur de tir. Feu. Explosion. Deuxième. Rafale esquivée. Tir dans la tuyère. Explosion. Troisième. Coup de palonnier gauche. Quatre munitions. Fumée. Roulis à droite. Décapitation. Gaz à fond.
Dans un rire qui ne semblait pas être le sien, Dreik faucha le ciel en piqué en laissant retomber dans son sillage trois épaves brûlantes.
Le fracas dément de ses moteurs le rendait sourd. Un tunnel de sang emplit sa vision, et bientôt Dreik n'eut plus cesse de rire, de hurler tant le carnage qu'il provoquait était grandiose. A chaque spire, une nouvelle mort magnifique. Des arcs de sang sublimaient les détonations de ses munitions explosives alors qu'il se faufilait entre les échardes améthystes des tirs concurrents. Il repensait à ce temps lointain où il n'était qu'un Hellion refoulé, ivre de sang dans les chemins tortueux des bas-fonds de Commoragh. Il se revoyait, fendant les cieux noirs en tirant sur tout ce qu'il voyait. Parfois même se jetait-il de son surf pour se jeter à pleines dents sur une victime. Il en faisait gicler la vie à grand jets écarlates, comme lorsque Kae'lys se démenait sur lui.
Nom de... !
Il avait raté l'esclave suivant.
Halluciné, Dreik ragea de toute sa trachée, incapable d'assimiler cet état de fait. Il avait raté son objectif ! Comment cela était-il possible ? Était-ce ainsi, penser à quelqu'un ? Comment avait-on pu s'emparer de lui ainsi ? Il avait engagé sa motojet dans un dérapage à fort angle d'attaque, et le passage d'air dans ses entrées d'air fit crisser l'atmosphère de façon atroce. Ses poursuivants étaient déjà sur lui. Ils avaient, eux , décapité leur esclave dédié, et se trouvaient dans un vecteur d'attaque imparable. Leurs tirs ne manqueraient pas.
Dreik le savait.
Et ils vinrent.
Des dizaines de projectiles à haute vélocité transpercèrent la motojet dans une déchirure assourdissante, qui provoqua des cris de joie sadiques dans les tribunes. Dreik vit plus qu'il ne les sentit les échardes labourer ses chairs, sa jambe gauche se consumant alors qu'il penchait la tête d'instinct pour éviter une lame de coque. Pensant s'appuyer sur son flanc droit, il fut saisi d'effroi en constatant que son bras n'était plus là pour prendre appui sur le guidon. Il bascula, dans un impossible sentiment d'échec, et tomba vers le sol, lointain et épineux.
L'air vicié fouettant son visage, Dreik pencha la tête pour voir à temps sa jambe rongée se détacher mollement de son corps, sans douleur. Lui qui avait vécu toute son existence dans la vitesse, semblait à présent flotter au ralenti. Les sons se muèrent en un grondement, le souffle du vent et les cris heureux de la foule psychopathe ne faisant plus qu'un alors qu'il s'efforçait, dans ses dernières secondes, d'imaginer ce que serait le futur sans lui. Et alors qu'un sourire se dessinait sur son visage torturé, Dreik vit venir de sa gauche un écho de son passé, un reflet lointain. Dans un crissement horrible, l'Hellion traversa Dreik de son aile droite, détachant sa tête si proprement que le sang ne jaillit que près du sol.
Le corps sans vie s'empala sur une pique de plusieurs mètres, offrant un repas béni à toutes les atrocités difformes nées de Commoragh, que celle-ci nourrissait de la même manière depuis l'éternité, et pour les siècles des siècles.
La cuve fut verrouillée dans un claquement qui fit sursauter Kael'ys. Une Gorgone, toute en muscles dépecés, connecta les récepteurs de douleur au socle d'acier, et manqua de la renverser en repassant près d'elle. Kael'ys pesta, un rictus mauvais sur sa bouche désormais sans lèvres. Elle avait payé d'un œil sa requête auprès des Haemoncules, et ceux-ci avaient en plus exigé son sourire. Ils avaient pris un malin plaisir à lui promettre de quoi réparer sa beauté, et avaient exprimé dans un humour sadique leur gratitude en lui assurant qu'un artifice à sa mesure lui serait octroyé.
Kae'lys s'était défigurée elle-même, dans des hurlements qui avaient fait frémir les dizaines de corps noyés autour d'elle. Désormais, loin sous les cieux faibles de Commoragh, elle repoussait une nausée permanente, un sentiment rance né de son apparence.
De sa démarche boiteuse, née d'un appendice tentaculaire bancal qui lui donnait une démarche presque stupide, l'Haemoncule apporta avec un rictus un coffret à Kae'lys. D'une voix vide de toute compassion, plus stérile que la mort, il la complimenta.
" - Dame Kael'ys, quel dommage qu'un si beau sourire disparaisse ainsi sous une couche d'argent.
- Epargnez vos boniments, Urien." le rabroua-t-elle. "Usez de vos talents pour accomplir votre part du marché, et je tâcherai de fermer les yeux sur votre regard dévorant.
- Mille excuses Madame, seulement vous feriez un si beau sujet d'études..."
Kae'lys mit en place le gorgerin orné de pointes offert par l'Haemoncule, masquant la moitié inférieure de son visage détruit.
" - Votre deuxième œil sera bientôt prêt, le temps d'en trouver un qui ait assez de valeur pour vous mériter." assura Urien.
" - Ce n'est pas d'un œil dont j'ai le plus besoin, sculpteur de chair. Je compte sur vous pour emplir cet endroit de souffrances en tous genres, quoi qu'il vous en coûte. Faites ce qu'il faut pour que tout s'achève dans les plus brefs délais.
- Vous ne douteriez pas de mes compétences, Dame Kael'ys ?" Urien avait rétorqué avec un soupçon défensif dans la voix.
Elle ne répondit pas, se contenta d'un dernier regard vers la cuve nouvellement occupée, et quitta le cachot dans le claquement de ses talons à ergots. L'Haemoncule en parut presque amusé, la tête bouillonnant des opportunités que ses nouveaux trophées lui offraient. De sa démarche claudicante il s'approcha de la cuve et, avec un sourire mauvais, posa une main décharnée sur la paroi de cristal.
" - Bien bien bien, voyons comment tu vas évoluer joli mignon. Ta mère m'a réclamé des attentions à ton égard...je tâcherai d'y penser dans le déroulement des choses..."
Il s'éloigna, et alors qu'il quittait la pièce suivi de sa Gorgone personnelle, son rire cruel, interminable, résonna.
" - A très vite, Layiis !"
Dernière édition par Vect le Mer 18 Mar 2015 - 11:31, édité 2 fois
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Mon récit en cours sur la VIIIème Légion :
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Mes reportages historiques, c'est par là : Ad Memoriam
"Mourez comme vous avez vécu, fils de la VIIIème Légion. Drapés de nuit." Konrad Curze.
"Vous êtes une race de proies, rien de plus, rien de moins." Asdrubael Vect.
Re: [Les Treize Piliers de la Vengeance] - II - Raptor
Ah sacré Layiss, une naissance de merde horrible et un destin de merde pire que la mort. On peut pas dire qu'il soit chanceux
Je comprenais pas ou nous emmenais ton histoire, mais la fin est grandiose.
pour l'ensemble des deux récits!
Gros point fort: le dialogue et le mini-épilogue de fin.
J'ai moins aimé les passages sur la motojet, mais c'est tout personnel, ça reste superbement écris.
Je comprenais pas ou nous emmenais ton histoire, mais la fin est grandiose.
pour l'ensemble des deux récits!
Gros point fort: le dialogue et le mini-épilogue de fin.
J'ai moins aimé les passages sur la motojet, mais c'est tout personnel, ça reste superbement écris.
Anton Narvaez Sergent Space Marine - Messages : 667
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Localisation : Savoie
Re: [Les Treize Piliers de la Vengeance] - II - Raptor
Haha merci Anton, ta première phrase m'a bien fait rire
Pour les passages en motojet j'ai essayé d'adopter un style dynamique pour refléter le fait que tout se déroule à grande vitesse...
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Re: [Les Treize Piliers de la Vengeance] - II - Raptor
Celui-là aussi était super !
- Si Variel réchappe vivant de cette folie, il viendra chercher l'enfant une de ces nuits, où que tu te caches.
- Il ne nous trouvera peut-être pas.
L'hilarité de Talos finit par se calmer, mais il continua à sourire.
- Prie pour qu'il ne le fasse pas.
- Il ne nous trouvera peut-être pas.
L'hilarité de Talos finit par se calmer, mais il continua à sourire.
- Prie pour qu'il ne le fasse pas.
Venez voir :
- 19e Grande Compagnie des Iron Warriors (figurines)
- Les Demi-dieux Brisés : Chroniques de la 19e Grande Compagnie
Variel Premier Capitaine - Messages : 1195
Age : 23
Localisation : Echo of Damnation
Re: [Les Treize Piliers de la Vengeance] - II - Raptor
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Re: [Les Treize Piliers de la Vengeance] - II - Raptor
Encore un bon récit qui renforce ma connaissance (limitée) sur les EN.
Tout n'est que poussière.
Garvieloken Vétéran Space Marine - Messages : 640
Age : 25
Localisation : Prospero : Tizca
Re: [Les Treize Piliers de la Vengeance] - II - Raptor
Vraiment très bon texte ! L'impression de vitesse sur la reaver ressort très bien !
"In darkness, all men are equal. Save those who embrace it."
- Kayvan Shrike
Caddon Varn Vétéran Space Marine - Messages : 619
Age : 24
Localisation : Lyon
Re: [Les Treize Piliers de la Vengeance] - II - Raptor
Merci beaucoup !
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