[Lettres de sang 3] : Dernier combat
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[Lettres de sang 3] : Dernier combat
Voilà. Je m'était mis hors course (vu l'état de santé de ma fille). Du fait qu'elle est rentrée plus tôt que prévu de l'hosto, j'ai écrit un récit, histoire de me changer les idées. Je me permets de le poster ...
"Cette planète va mourir ..."
Dernier combat.
Encore une fois je vérifie mon fusil laser. C’est un automatisme, je ne m’en rends même plus compte. Je me laisse bercer par le mouvement chaotique du Rhino peint aux couleurs de la dixième compagnie des « Premiers Nés Vostroyens ». Nous avons débarqué il y a presque 42 heures. Juste le temps de libérer notre fureur sur un secteur minier dépendant de la ruche Euyrales, histoire de repousser la vermine noire du chaos. Une armée de cultistes poussés dans leur dernier retranchement, là-bas, derrière cette colline dont j’ai oublié le nom. Fatigué des combats, je suis resté un moment assis, à regarder les allées et venues des différentes navettes de transport. Ballet dans le ciel déjà mort de Medusa 5. Priorité étant donnée aux marchandises et autres matières premières. Une fois les stocks vidés, si le temps le permet, les civils pourront commencer à embarquer. C’est sans compter avec les cultistes qui se sont regroupés. Les mines avaient vomi une armée entière de renforts venus appuyer les forces en déroute de ces abominations. Les enfants de Zharlek. Autrefois un prédicateur, maintenant un chef de guerre. Une seule envie : reprendre le contrôle du secteur et nettoyer l’affront de la défaite dans un bain de sang. Le commandant Hylanov de la 10éme se porte volontaire pour les occuper un maximum.
« Donnez – moi 200 hommes, et je m’occupe de les retenir. » avait-il déclaré. Cela part d’un bon sentiment. Je dois avouer que cela ne m’arrange pas particulièrement.
Première heure
Nous sommes déposés à moins d’un kilomètre des collines. Discipline, ordre et méthode. Nous nous déployons comme un seul homme. Le lit d’une rivière asséchée nous sert de tranchée. Idéale. Sur la crête, les forces du chaos, tel une horde d’animaux scandent des chants destinés à nous effrayer. Cela n’a aucun effet. Nous sommes prêts à mourir. L’ultime sacrifice. Ce devrait d’être une belle bataille. Pas d’appuis d’arme lourde. Le contingent a déjà été embarqué. Il ne faudrait pas que ses cultistes puissent se les approprier. Un combat d’hommes, de feu et de fer. Le sergent Revh, impassible, nous fait face. Cela suffit à nous motiver. Je déploie l’étendard que j’ai promis de défendre envers et contre tout. Le cri de satisfaction de mes frères me remplit de joie une fois de plus.
Les « Enfant de Zharek » chargent. Les lourdes bottines cloutées arrachent la glace et leur cri envahit la vallée. Peu importe. Tout ce bruit sera bientôt couvert par nos tirs.
Mais pas encore.
Ils se rapprochent, vague hurlante annonçant une mort aussi certaine que brutale.
Nous attendons.
Nous pouvons distinguer maintenant leurs uniformes de fortunes composés d’un semblant d’armure de plaques de métal attaché à leur vêtement de travail. Ils avaient été de bons mineurs autrefois. Avant la grande nuit qui les avaient transformés à tous jamais. Armé de pioches et de haches. Certains possèdent des armes anciennes à munitions hérissées de baionettes. Ils portent des masques de peaux humaines.
Enfin, l’ordre de tirer est donné…
Deuxième heure
Taillés en pièces, leur élan brisé. Juste pour tester notre force de frappe. La seconde vague nous heurte de plein fouet. Chair contre métal. Un reliquat de tirs à bout portant, ensuite il faut sortir épées et poignards. Notre tranchée est vite submergée de vermines. Il faut tenir. Ce sont les ordres. Mes frères tombent emportant avec eux des dizaines d’ennemis. Magnifiques guerriers vêtus de rouge et de fers traduisant leur amour de l’Empereur par le massacre de leurs adversaires.
Nous devons reculer.
Rejoignant le monticule qui sert de redoute naturelle où attendent le colonel Hyvanov et le reste de la compagnie. Les tirs précis du 10éme Vostroyens font des ravages chez l’ennemi. Cela nous permet de rejoindre cet arrière-poste sans trop de perte. En tant que porte-étendard, je me poste à côté du Colonel. Les hommes restants se postent en deux arcs de cercle autour de nous. Une fois de plus, leur nombre fait la différence. Notre puissance de feu n’est pas suffisante. Nous sommes vite submergés.
Dernière heure
Il ne reste plus que moi. Le colonel vient de tomber. La glace autour de moi est recouverte des cadavres de mes frères et de dix fois plus de vermine du chaos.
Près de moi se trouve mon manteau rouge, que je viens d’enlever,
Près de moi se trouve mon shako, que j’ai remplacé par un turban fait de toile mouillée qui recouvre ma tête,
Près de moi se trouve mon sabre, que j’ai planté dans le sol glacé de Medusa 5, témoin de ma présence,
Près de moi se trouve mes frères, que je me prépare à rejoindre.
A genou, torse-nu. Je ressents la morsure du froid. Cela me fait du bien et me rappelle le monde où je suis né. Je sers mon étendard tout contre moi. Le drapeau étalé sur ma droite. Les cultistes survivants de ce dernier assaut se regroupent. J’en compte quinze. Sur la crête, leur maitre observe le champ de bataille. Ils comptent bien me prendre l’étendard pour le brandire en signe de victoire et le recouvrir ensuite de signes blasphématoires, comme ultime insulte à mon Empereur.
Ils s’avancent enfin. Dix de front et les cinq autres en retrait. Ma posture immobile les intrigue. J’attends. Ils sont maintenant à portée. D’un geste large, j’écarte mon drapeau cachant un lance-flamme. De ma main libre, je déclenche un feu d’enfer. Le prométeum arrose les dix guerriers qui s’enflamment comme des torches. Un mur de feu. Je me relève et je m’empare de mon sabre planté tout à côté de moi. Je m’élance à travers la fournaise. Mes cheveux ne brûlent pas. Ils sont protégés par mon foulard humide. La glace sur mon torse me protège juste assez pour me laisser le temps de traverser. Le prométeum sur ma lame s’enflamme en un quart de seconde.
Je charge mes ennemis. L’effet de surprise est réussi. Je bondis comme un démon sortant du Warp. Mon sabre de feu et de fer décapite le premier qui n’a rien vu venir. L’un d’eux est armé d’un fusil est me mets en joue. Je lui lance mon sabre qui va se planter en plein cœur. J’ai eu de la chance. Je me concentre sur celui qui se trouve sur ma droite et l’empoigne à la gorge. D’un revers de sa lame il m’entaille le torse. La douleur me donne la force nécessaire de lui broyer la carotide. Je tombe une première fois. Il en reste deux. L’un vient vers moi, de face et l’autre préfère m’approcher par le flanc. Je tire mon poignard de ma botte et mon lancé fait mouche une fois de plus. Trente centimètre d’acier qui vont se figer dans la gorge de mon ennemi. Un cadeau d’un soldat de Tanith à qui j’ai sauvé la vie. Je prends de plein fouet la charge du cultiste restant. Je m’effondre et l’entaille se rappelle à mon bon souvenir. Le contact avec le sol est rude et me laisse étourdi. La glace me fait du bien. Mon ennemi tourne autour de moi. Un fauve qui fait durer le plaisir d’une mise à mort. Je suis résigné. L’Empereur veillera sur les miens et je m’en remets à Lui. Mon ennemi me fait face. La pioche qui lui sert d’arme se lève. Je ferme les yeux, je vais enfin pouvoir me reposer.
Sa tête explose en même temps que d’autres explosions et tirs se font entendre. Je me redresse difficilement sur un coude. Un géant en armure grise me fait face.
« Pas mal pour un humain. Tu te bats bien. Tu as même impressionné Yalthar. »
La voix du Space Wolf est grave. Encore aujourd’hui, parfois, je l’entends.
« Cette planète va mourir, et elle ne t’emportera pas avec elle »
Déjà un autre géant s’affaire autour de moi. Il m’injecte un calmant. Je me sents déjà mieux. Je vais enfin pouvoir me reposer…un peu …
"Cette planète va mourir ..."
Dernier combat.
Encore une fois je vérifie mon fusil laser. C’est un automatisme, je ne m’en rends même plus compte. Je me laisse bercer par le mouvement chaotique du Rhino peint aux couleurs de la dixième compagnie des « Premiers Nés Vostroyens ». Nous avons débarqué il y a presque 42 heures. Juste le temps de libérer notre fureur sur un secteur minier dépendant de la ruche Euyrales, histoire de repousser la vermine noire du chaos. Une armée de cultistes poussés dans leur dernier retranchement, là-bas, derrière cette colline dont j’ai oublié le nom. Fatigué des combats, je suis resté un moment assis, à regarder les allées et venues des différentes navettes de transport. Ballet dans le ciel déjà mort de Medusa 5. Priorité étant donnée aux marchandises et autres matières premières. Une fois les stocks vidés, si le temps le permet, les civils pourront commencer à embarquer. C’est sans compter avec les cultistes qui se sont regroupés. Les mines avaient vomi une armée entière de renforts venus appuyer les forces en déroute de ces abominations. Les enfants de Zharlek. Autrefois un prédicateur, maintenant un chef de guerre. Une seule envie : reprendre le contrôle du secteur et nettoyer l’affront de la défaite dans un bain de sang. Le commandant Hylanov de la 10éme se porte volontaire pour les occuper un maximum.
« Donnez – moi 200 hommes, et je m’occupe de les retenir. » avait-il déclaré. Cela part d’un bon sentiment. Je dois avouer que cela ne m’arrange pas particulièrement.
Première heure
Nous sommes déposés à moins d’un kilomètre des collines. Discipline, ordre et méthode. Nous nous déployons comme un seul homme. Le lit d’une rivière asséchée nous sert de tranchée. Idéale. Sur la crête, les forces du chaos, tel une horde d’animaux scandent des chants destinés à nous effrayer. Cela n’a aucun effet. Nous sommes prêts à mourir. L’ultime sacrifice. Ce devrait d’être une belle bataille. Pas d’appuis d’arme lourde. Le contingent a déjà été embarqué. Il ne faudrait pas que ses cultistes puissent se les approprier. Un combat d’hommes, de feu et de fer. Le sergent Revh, impassible, nous fait face. Cela suffit à nous motiver. Je déploie l’étendard que j’ai promis de défendre envers et contre tout. Le cri de satisfaction de mes frères me remplit de joie une fois de plus.
Les « Enfant de Zharek » chargent. Les lourdes bottines cloutées arrachent la glace et leur cri envahit la vallée. Peu importe. Tout ce bruit sera bientôt couvert par nos tirs.
Mais pas encore.
Ils se rapprochent, vague hurlante annonçant une mort aussi certaine que brutale.
Nous attendons.
Nous pouvons distinguer maintenant leurs uniformes de fortunes composés d’un semblant d’armure de plaques de métal attaché à leur vêtement de travail. Ils avaient été de bons mineurs autrefois. Avant la grande nuit qui les avaient transformés à tous jamais. Armé de pioches et de haches. Certains possèdent des armes anciennes à munitions hérissées de baionettes. Ils portent des masques de peaux humaines.
Enfin, l’ordre de tirer est donné…
Deuxième heure
Taillés en pièces, leur élan brisé. Juste pour tester notre force de frappe. La seconde vague nous heurte de plein fouet. Chair contre métal. Un reliquat de tirs à bout portant, ensuite il faut sortir épées et poignards. Notre tranchée est vite submergée de vermines. Il faut tenir. Ce sont les ordres. Mes frères tombent emportant avec eux des dizaines d’ennemis. Magnifiques guerriers vêtus de rouge et de fers traduisant leur amour de l’Empereur par le massacre de leurs adversaires.
Nous devons reculer.
Rejoignant le monticule qui sert de redoute naturelle où attendent le colonel Hyvanov et le reste de la compagnie. Les tirs précis du 10éme Vostroyens font des ravages chez l’ennemi. Cela nous permet de rejoindre cet arrière-poste sans trop de perte. En tant que porte-étendard, je me poste à côté du Colonel. Les hommes restants se postent en deux arcs de cercle autour de nous. Une fois de plus, leur nombre fait la différence. Notre puissance de feu n’est pas suffisante. Nous sommes vite submergés.
Dernière heure
Il ne reste plus que moi. Le colonel vient de tomber. La glace autour de moi est recouverte des cadavres de mes frères et de dix fois plus de vermine du chaos.
Près de moi se trouve mon manteau rouge, que je viens d’enlever,
Près de moi se trouve mon shako, que j’ai remplacé par un turban fait de toile mouillée qui recouvre ma tête,
Près de moi se trouve mon sabre, que j’ai planté dans le sol glacé de Medusa 5, témoin de ma présence,
Près de moi se trouve mes frères, que je me prépare à rejoindre.
A genou, torse-nu. Je ressents la morsure du froid. Cela me fait du bien et me rappelle le monde où je suis né. Je sers mon étendard tout contre moi. Le drapeau étalé sur ma droite. Les cultistes survivants de ce dernier assaut se regroupent. J’en compte quinze. Sur la crête, leur maitre observe le champ de bataille. Ils comptent bien me prendre l’étendard pour le brandire en signe de victoire et le recouvrir ensuite de signes blasphématoires, comme ultime insulte à mon Empereur.
Ils s’avancent enfin. Dix de front et les cinq autres en retrait. Ma posture immobile les intrigue. J’attends. Ils sont maintenant à portée. D’un geste large, j’écarte mon drapeau cachant un lance-flamme. De ma main libre, je déclenche un feu d’enfer. Le prométeum arrose les dix guerriers qui s’enflamment comme des torches. Un mur de feu. Je me relève et je m’empare de mon sabre planté tout à côté de moi. Je m’élance à travers la fournaise. Mes cheveux ne brûlent pas. Ils sont protégés par mon foulard humide. La glace sur mon torse me protège juste assez pour me laisser le temps de traverser. Le prométeum sur ma lame s’enflamme en un quart de seconde.
Je charge mes ennemis. L’effet de surprise est réussi. Je bondis comme un démon sortant du Warp. Mon sabre de feu et de fer décapite le premier qui n’a rien vu venir. L’un d’eux est armé d’un fusil est me mets en joue. Je lui lance mon sabre qui va se planter en plein cœur. J’ai eu de la chance. Je me concentre sur celui qui se trouve sur ma droite et l’empoigne à la gorge. D’un revers de sa lame il m’entaille le torse. La douleur me donne la force nécessaire de lui broyer la carotide. Je tombe une première fois. Il en reste deux. L’un vient vers moi, de face et l’autre préfère m’approcher par le flanc. Je tire mon poignard de ma botte et mon lancé fait mouche une fois de plus. Trente centimètre d’acier qui vont se figer dans la gorge de mon ennemi. Un cadeau d’un soldat de Tanith à qui j’ai sauvé la vie. Je prends de plein fouet la charge du cultiste restant. Je m’effondre et l’entaille se rappelle à mon bon souvenir. Le contact avec le sol est rude et me laisse étourdi. La glace me fait du bien. Mon ennemi tourne autour de moi. Un fauve qui fait durer le plaisir d’une mise à mort. Je suis résigné. L’Empereur veillera sur les miens et je m’en remets à Lui. Mon ennemi me fait face. La pioche qui lui sert d’arme se lève. Je ferme les yeux, je vais enfin pouvoir me reposer.
Sa tête explose en même temps que d’autres explosions et tirs se font entendre. Je me redresse difficilement sur un coude. Un géant en armure grise me fait face.
« Pas mal pour un humain. Tu te bats bien. Tu as même impressionné Yalthar. »
La voix du Space Wolf est grave. Encore aujourd’hui, parfois, je l’entends.
« Cette planète va mourir, et elle ne t’emportera pas avec elle »
Déjà un autre géant s’affaire autour de moi. Il m’injecte un calmant. Je me sents déjà mieux. Je vais enfin pouvoir me reposer…un peu …
" Dans le doute, frappe encore...."
http://arghail.blogspot.be/
Re: [Lettres de sang 3] : Dernier combat
Beau combat et joli texte .... J'aime bien ton idée d'incrémentation des heures. J'avais aussi pensé faire un peu la même chose mais en jour de semaine ...
Haut Connétable Uther - Pour les Black Librarians ! Pour le Forum !
Ce sont les vainqueurs qui écrivent l'histoire
uther33 Maître de Guerre - Messages : 5674
Age : 54
Localisation : Guyenne
Re: [Lettres de sang 3] : Dernier combat
Super Texte à la 1ère personne, je n'aurais pas osé le faire ainsi. Je vois que la Garde Impériale donne de l'inspiration .
Codex Raven Guard
Corax Maître de Guerre - Messages : 6772
Age : 46
Localisation : Délivrance / Lorraine
Re: [Lettres de sang 3] : Dernier combat
Une vraie petite perle Honsou . Bravo .
———
"Pride,not flesh, is weak"
"Quel mal pouvait bien causer l'étude et l'apprentissage ?"
Magnus Maitre de chapitre - Messages : 2299
Age : 46
Localisation : Normandie , LE pays du Cidre ...
Re: [Lettres de sang 3] : Dernier combat
Superbe Honsy.. Bien haletant.
Give a monkey a brain... And He'll swear that he's the center of the Universe
Roboutte Guilliman Maître de Guerre - Messages : 4523
Age : 58
Localisation : Suisse, Montpellier, Savoie.. Le multiverse quoi
Re: [Lettres de sang 3] : Dernier combat
Décidément les Vostroyens ont la côte !
Superbe honsou félicitation
Superbe honsou félicitation
Ave Dominus Nox
Talos Scout - Messages : 81
Age : 33
Localisation : auvergne
Re: [Lettres de sang 3] : Dernier combat
Epique.
Que dire... dans le début, je le trouvais basique, puis vient le moment où il est seul contre tous : a partir de là ca m'a vraiment accroché et tout s'est correctement enchainer. Bref, je me représentais bien la scène en tête sans difficulté.
Bravo.
Que dire... dans le début, je le trouvais basique, puis vient le moment où il est seul contre tous : a partir de là ca m'a vraiment accroché et tout s'est correctement enchainer. Bref, je me représentais bien la scène en tête sans difficulté.
Bravo.
Logan Grimnar Premier Capitaine - Messages : 1463
Age : 30
Localisation : Fenris, Asaheim, le Croc. (92)
Leman Russ Maître de Guerre - Messages : 5839
Age : 54
Localisation : Finistère Sud
Re: [Lettres de sang 3] : Dernier combat
J'aime beaucoup. Du début à la fin.
Il n'y a que la mort qui n'a pas de solution.
Sanguinius Premier Capitaine - Messages : 1442
Age : 32
Localisation : Baal, Nice, le Grand Sud
Viktor Foxtrot Space Marine - Messages : 222
Age : 47
Localisation : Lieusaint
Re: [Lettres de sang 3] : Dernier combat
C'est vraiment super :bien écrit histoire prenante et j'en passe
"L homme volant! " Sanguinius quand il découvrit ses ailes.
"Pour Baal ! Et nous ne connaitront pas la peur "
"Pour le Black Librarium !!" Projet Black Librarians
Ma production
nécrons
tyranides
news autres jeux vidéos
sanguinius 2 Sergent Space Marine - Messages : 668
Localisation : la teste de buch
Re: [Lettres de sang 3] : Dernier combat
Merci pour tout vos commentaires ... C'est motivant ...
" Dans le doute, frappe encore...."
http://arghail.blogspot.be/
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