Scourge the heretic & Innocence proves nothing
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Scourge the heretic & Innocence proves nothing
Scourge the Heretic (que l’on pourrait traduire par « Fléau des hérétiques ») est le tome 1, sorti en 2008 d'un dyptique sur l'univers de Dark Heresy.
L’auteur Sandy Mitchell, comme a son habitude nous démontre qu’il maitrise parfaitement le fluff de wh40k. Loin de l’humour omniprésent de la série Ciaphas Cain du même auteur, nous nous retrouvons plongé tout de suite au coeur d’une sombre enquête menée par une équipe de l’inquisition.
- Intérêt fluffique = 3.5/5
L’Inquisiteur Carolus Finurbi de l’Hereticus se voit confier une mission implicant le disparition de psykers. Ne pouvant se rendre sur place, il va donc dépêcher une de ses équipes. Ses membres, oscilant entre le niveau acolytes de confiance et le rang d’agents du Trône sont menés par l’Interrogateur Mordekaï Horst qui s’avère être un ex arbitrator. Avec lui l’accompagent Vex Hybris, un technoprêtre toujours connecté à ses tablettes de données, Elyra, une pyromancienne et Keira Sythree, une toute jeune assassin élevée dans le culte de la Rédemption.
Envoyés enquêter dans le secteur Calixis sur Sepheris Secundus sur le piste de psykers renégats, ils complèteront rapidement leur équipe avec deux gardes impériaux locaux dont les connaissances seront fort utiles : Kyrlock, une brute issue des bas-fonds de la ruche et Drake un soldat ayant servi au sein des nobles familles locales.
Les puristes du secteur Calixis apprécieront. Tout d’abord la déscription de Sepheris Secundus, que ce soit les mines de Gorgonide et les magouilles de sa pègre ou que ce soit les intrigues qui se trament au sein de la noblesse locale, l’histoire se suit avec grand plaisir car l’intrigue accroche le lecteur d’un bout à l’autre du roman.
Le point fort revient aussi sur les liens qui se créent entre les personnages et notamment les sentiments totalement inavoués qui naissent entre l’Interogateur et la jeune assassin, qui est plutôt bien présenté et apporte une certaine fraicheur au roman.
- Style et écriture = 4/5
Innocence Proves Nothing est la duite directe du tome 1, sortie en 2009, on retrouve avec grand plaisir toute l’équipe de l’Interrogateur Malakai Horst.
Toujours à la poursuite d’une organisation hérétique employant des psykers renégats et utilisant des artefacts xenos, les acolytes se retrouvent dès le début à devoir suivre plusieurs pistes en parallèles.
Alors qu’Elyra la psyker et Kyrlock l’ancien garde (ceux sur la couverture) se retrouvent à infiltrer l’organisation, le reste de l’équipe va se rendre sur Scintilla via le Miséricorde.
L’histoire, comme dans le tome 1 est plaisante, elle se suit avec un grand interet d’autant plus que les références au secteur Calixis sont réélles et très bien rendues. Une fois de plus, Sandy Mitchell maitrise bien cet univers et les rapports entre les personnages ajoutent une vraie profondeur à l’intrigue. Les descriptions de l'interieur du Miséricorde (un navire chartiste), de ses castes si particulières et de ses habitants hors-monde sont parfaitement bien rendus; tout comme Scintilla ou encore le Palais de l'Inquisition.
La fin, si elle laisse présager une potentielle suite très attendue par les fans, se termine sur un véritable cliffhanger.
Bref, un diptyque incoutournable pour qui se passionne pour les équipes de l'Inquisition ou juste 40k en général car cette série a le mérite de traiter avec justesse de l’univers que l’on connait bien.
-Scénario et mise en scène = 3.5/5
N’étant pas rééditée par BL, on ne la trouve plus que sur le net...
Encore une fois, et comme pour bien des séries, mais quel dommage que ce ne soit pas au programme des traductions, d’autant plus que ce diptyque se suit avec le même intéret qu’une série d’Abnett ou de McNeill…
- Appréciation personnelle = 4/5 (Une bonne accroche, un scénario musclé et des persos attachants mais ça se termine malheureusement un peu vite)
- Note globale = 15/20
L’auteur Sandy Mitchell, comme a son habitude nous démontre qu’il maitrise parfaitement le fluff de wh40k. Loin de l’humour omniprésent de la série Ciaphas Cain du même auteur, nous nous retrouvons plongé tout de suite au coeur d’une sombre enquête menée par une équipe de l’inquisition.
- Intérêt fluffique = 3.5/5
L’Inquisiteur Carolus Finurbi de l’Hereticus se voit confier une mission implicant le disparition de psykers. Ne pouvant se rendre sur place, il va donc dépêcher une de ses équipes. Ses membres, oscilant entre le niveau acolytes de confiance et le rang d’agents du Trône sont menés par l’Interrogateur Mordekaï Horst qui s’avère être un ex arbitrator. Avec lui l’accompagent Vex Hybris, un technoprêtre toujours connecté à ses tablettes de données, Elyra, une pyromancienne et Keira Sythree, une toute jeune assassin élevée dans le culte de la Rédemption.
Envoyés enquêter dans le secteur Calixis sur Sepheris Secundus sur le piste de psykers renégats, ils complèteront rapidement leur équipe avec deux gardes impériaux locaux dont les connaissances seront fort utiles : Kyrlock, une brute issue des bas-fonds de la ruche et Drake un soldat ayant servi au sein des nobles familles locales.
Les puristes du secteur Calixis apprécieront. Tout d’abord la déscription de Sepheris Secundus, que ce soit les mines de Gorgonide et les magouilles de sa pègre ou que ce soit les intrigues qui se trament au sein de la noblesse locale, l’histoire se suit avec grand plaisir car l’intrigue accroche le lecteur d’un bout à l’autre du roman.
Le point fort revient aussi sur les liens qui se créent entre les personnages et notamment les sentiments totalement inavoués qui naissent entre l’Interogateur et la jeune assassin, qui est plutôt bien présenté et apporte une certaine fraicheur au roman.
- Style et écriture = 4/5
Innocence Proves Nothing est la duite directe du tome 1, sortie en 2009, on retrouve avec grand plaisir toute l’équipe de l’Interrogateur Malakai Horst.
Toujours à la poursuite d’une organisation hérétique employant des psykers renégats et utilisant des artefacts xenos, les acolytes se retrouvent dès le début à devoir suivre plusieurs pistes en parallèles.
Alors qu’Elyra la psyker et Kyrlock l’ancien garde (ceux sur la couverture) se retrouvent à infiltrer l’organisation, le reste de l’équipe va se rendre sur Scintilla via le Miséricorde.
L’histoire, comme dans le tome 1 est plaisante, elle se suit avec un grand interet d’autant plus que les références au secteur Calixis sont réélles et très bien rendues. Une fois de plus, Sandy Mitchell maitrise bien cet univers et les rapports entre les personnages ajoutent une vraie profondeur à l’intrigue. Les descriptions de l'interieur du Miséricorde (un navire chartiste), de ses castes si particulières et de ses habitants hors-monde sont parfaitement bien rendus; tout comme Scintilla ou encore le Palais de l'Inquisition.
La fin, si elle laisse présager une potentielle suite très attendue par les fans, se termine sur un véritable cliffhanger.
Bref, un diptyque incoutournable pour qui se passionne pour les équipes de l'Inquisition ou juste 40k en général car cette série a le mérite de traiter avec justesse de l’univers que l’on connait bien.
-Scénario et mise en scène = 3.5/5
N’étant pas rééditée par BL, on ne la trouve plus que sur le net...
Encore une fois, et comme pour bien des séries, mais quel dommage que ce ne soit pas au programme des traductions, d’autant plus que ce diptyque se suit avec le même intéret qu’une série d’Abnett ou de McNeill…
- Appréciation personnelle = 4/5 (Une bonne accroche, un scénario musclé et des persos attachants mais ça se termine malheureusement un peu vite)
- Note globale = 15/20
Vil xenos omniscient
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