Cortège d'Acier d'Andy Clark
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VOTRE APPRÉCIATION GLOBALE DU ROMAN:
Cortège d'Acier d'Andy Clark
Présentation:
Mon avis VO:
==> Cortège d'Acier Semi-Poche Croatoas. Une planète ravagée par la guerre où s'affrontent les armées de l'Astra Militarum et les serviteurs dégénérés des Puissances de la Ruine. Au cœur d'un conflit toujours plus désespéré, la cheffe de char d'assaut Hadeya Etsul se voit intégrée à un régiment cadien et placée aux commandes du Leman Russ Demolisher Cortège d'Acier. Hantée par ses propres cauchemars, flanquée d'un équipage à problèmes et peinant à se faire une place parmi des soldats fiers et bornés dont la culture lui est toute étrangère, il incombe à Etsul de mener ses hommes à la victoire. Lorsque son régiment est déployé dans la lueur maladive de la Grande Faille pour se joindre à un assaut d'envergure, l'équipage du Cortège d'Acier fait face à un choix simple, quoique galvaudé par la propagande impériale : la mort, ou la gloire. Mais pourraient-ils se couvrir de gloire et survivre, si seulement ils œuvraient de concert ? 368 pages • Novembre 2022 • ISBN 9781804071922 • Illustration de ??? |
Mon avis VO:
- Spoiler:
- Un roman sur des cadiens dans un Leman Russ, de base cela ne m'intéressait pas spécialement. Mais étant "obligé" de lire tout roman avec la Garde, il a été ajouté rapidement à ma pile de lectures. Et je dois dire que je l'ai trouvé plutôt sympathique malgré le sujet fort peu porteur pour moi. L'histoire se passe après la chute de Cadia, les régiments Cadiens doivent absorber des restes d'autres régiments moins prestigieux pour combler les rangs. Bien évidemment les cadiens n'ont que mépris pour les soldats venant d'une autre planète, après tout ils ne font pas parti de l'élite, ils n'ont pas été formés sur Cadia, ils ne peuvent pas comprendre ni être au niveau. Le personnage principal vient d'un régiment "étranger", d'une autre planète, et doit rejoindre une corps d'armée cadien, on suit donc son appréhension quant à l'idée d'être avec des cadiens, elle doute d'être à la hauteur et en même temps vit mal les reproches qu'ils font. Elle est le commandeur d'un Leman Russ, dans son équipage il y a 3 cadiens et 3 non cadiens avec son arrivée, cela fait augmenter les tensions.
Le scénario est classique et prévisible dans le sens où le côté "équipage de blaireaux insubordonnés qui doutent de leur nouveau chef" est déjà vu et on sait qu'elle va gagner leur mérite au fil du livre. Mais, cela reste sympathique à suivre, même si j'ai trouvé que certains personnages sont sous exploités, une femme avec un bras mécanique qui ne parle que très peu dans le livre et ne sert quasiment à rien, et le conducteur fanatique qui est lui aussi sous exploité à mon sens bien que plus présent. Dans l'ensemble, la relation entre les personnages est bien faite, c'est sympa de voir la voir passer de tensions à une fidélité totale au fil des péripéties. Je ne suis d'habitude pas un adepte des romans dans des véhicules ou mechas, mais là cela reste assez original (ils sont isolés derrière les lignes ennemis et doivent fuir) et m'a fait penser au film Fury par moments (la vie d'un équipage de char en plein combats). Cela reste classique et sans grande importance dans l'univers de 40K, mais ce roman se lit bien, n'est pas trop long et est relativement rafraîchissant de part sa vision équipage de char dans un conflit où d'habitude l'ont suit des pelotons d'infanteries ou des régiments blindés plus importants.
Le livre est donc intéressant à lire pour le côté de l'histoire basé sur l'assimilation de non cadiens, devenu une nécessité, et tous les thèmes que cela apporte quant aux différences d'origines et cultures (et là la BL sort avec peu de subtilité un "peut importe d'où nous venons, nous sommes tous humains avant tout"), ou la survie derrière des lignes ennemies quand on n'a pas confiance en son propre équipage. Une bonne petite lecture sans prétention.
Nico. Admin - Messages : 10494
Age : 34
Re: Cortège d'Acier d'Andy Clark
Mon unique précédente lecture d’Andy Clark ne s’était pas bien passée. Après ce deuxième retour je pourrai enfin savoir si ce dernier va rejoindre le cercle très privé des Hinks, Annandale et compagnie.
Certifié sans spoil.
Bonne lecture.
Scénario et mise en scène = 3/5
Un scénario somme toute basique de basique comme l’est le livre finalement. Tellement basique que je n'ai pris aucune note pour faire ce retour. Une jeune sergent devient commandante de son propre leman russ suite à la destruction de son véhicule ainsi que la mort de ses camarades.
Le régiment qu’elle rejoint, des cadiens, comporte déjà des éléments étrangers aux hommes violets. Arrivant à son char, la récente promue va devoir faire face à plusieurs difficultés. Premièrement l’imperium est en train de perdre la guerre, deuxièmement son équipage n’accepte pas l’autorité de leur nouvelle supérieure.
Après c’est le florilège de clichés avec bien évidemment la scène de survie en ligne arrière des ennemies, l’acceptation de leur nouvelle commandante difficile, puis à la fin où tout le monde se montre compétent et très soudé mais surtout leur nouvelle chef qui est la meilleure des meilleures. Et c’est reparti pour une nouvelle guerre le sourire aux lèvres.
Sans compter bien évidemment les scènes d’action épique, parfois ridicule avec :
Je surjoue un peu mais c’est réellement le scénario.
C’est du vu, revu et rerevu. Ultra classique. Le scénario était devinable à des kilomètres.
A contrario il y a certaines bonnes choses que l’auteur à fait notamment dans la création des personnages. On identifie vite qui sont les personnages ainsi que leur caractère. Petit plus au pilote fanatisé et totalement psychorigide ainsi que l'artilleuse calme et badasse. Ce que D Hills n’avait pas réussi à faire, en trois romans. Certaines relations quoiqu'un peu bizarres :
Reste assez intéressante. J’ai aussi apprécié le fait que l’auteur se soit forcé à créer un background à tous ces personnages mais surtout à l’héroïne, sa planète d’origine avait d’ailleurs l’air intéressante. Bon par contre son traumatisme de début du roman a vite disparu.
Le dernier bon point de ce bouquin c’est le traitement de l’acceptation des personnages non cadiens. Je remercie l’auteur de ne pas en avoir fait quelque chose d’insipide. J’ai même trouvé ça presque bien traité. En tout cas les raisons de ce racisme anti autre monde bien mieux fait que ce que Justin D.Hills a proposé.
- Style et écriture = 2/5
Je n’étais déjà pas fan du style d’Andy Clark dans la purge qu’était « Sainte Célestine » et je ne suis toujours pas convaincu. Après c’est un avis purement subjectif ici mais même si le roman n’est pas mal écrit je trouve son style d’un platonique.
Les scènes d'action d’écrite ne m’ont pas vraiment intéressé j’avais bien plus préféré les romans d'Haley sur le sujet des chars. Quant aux dialogues, même si cela reste assez correct, certains sont tellement surjoué (oui, oui dans un livre), surtout niveau humour que j’ai trouvé cela peut voir pas naturel.
Et bon instaurer un semblant de tension sur qui va vivre ou non quand on sait déjà au bout de dix pages ce qui va se passer c’est inutile.
- Intérêt fluffique = 3/5
Toujours la même rengaine, Cadia n’est pas morte, acceptation desprimaris non cadiens. Et comment les hommes aux yeux violets regarnissent leur régiment.
Rien de notable en plus. J’aurais aimé plus de démonstration de la force d'un Leman Russ Demolisher.
- Appréciation personnelle = 3/5
Un roman assez particulier à noter au niveau de mon appréciation globale. Car en soi ce n’est pas un bon bouquin. Mais d’un autre côté je n’ai pas passé un mauvais moment non plus. Pour en revenir à mon unique précédente lecture de l’auteur, « Sainte Célestine », là c'était un presque un enfer à lire. Mais ici c’est passé tout seul, je me suis même surpris à lire tard le soir.
Pour en faire une comparaison à des œuvres cinématographiques récentes, disons que je peux affilier cet écrit à certains Marvel, dont certains derniers films. Prenons en exemple Black Panther 2 le film est un navet pur souche (avis personnel) et pourtant après avoir posé mon cerveau sur le siège d’à côté j’ai apprécié le visionnage. Là c’est pareil.
Je ne conseille pas le roman à moins d’avoir rien d’autre à lire. Mais cela peut faire passer le temps.
Noté moyen.
- Note globale = Total des points 11/20
Et malheureusement Andy Clark rejoint pour le moment le cercle très privé des pires auteurs BL mais avec une mention de sympathie contrairement aux autres.
Bon en attendant le roman sur Volpone je vais lire autre chose que du Warhammer.
Certifié sans spoil.
Bonne lecture.
Scénario et mise en scène = 3/5
Un scénario somme toute basique de basique comme l’est le livre finalement. Tellement basique que je n'ai pris aucune note pour faire ce retour. Une jeune sergent devient commandante de son propre leman russ suite à la destruction de son véhicule ainsi que la mort de ses camarades.
Le régiment qu’elle rejoint, des cadiens, comporte déjà des éléments étrangers aux hommes violets. Arrivant à son char, la récente promue va devoir faire face à plusieurs difficultés. Premièrement l’imperium est en train de perdre la guerre, deuxièmement son équipage n’accepte pas l’autorité de leur nouvelle supérieure.
Après c’est le florilège de clichés avec bien évidemment la scène de survie en ligne arrière des ennemies, l’acceptation de leur nouvelle commandante difficile, puis à la fin où tout le monde se montre compétent et très soudé mais surtout leur nouvelle chef qui est la meilleure des meilleures. Et c’est reparti pour une nouvelle guerre le sourire aux lèvres.
Sans compter bien évidemment les scènes d’action épique, parfois ridicule avec :
- Spoiler:
- Ce titan démoniaque quasiment abattu par le leman russ des héros à lui seul en 1 vs1…
Je surjoue un peu mais c’est réellement le scénario.
C’est du vu, revu et rerevu. Ultra classique. Le scénario était devinable à des kilomètres.
A contrario il y a certaines bonnes choses que l’auteur à fait notamment dans la création des personnages. On identifie vite qui sont les personnages ainsi que leur caractère. Petit plus au pilote fanatisé et totalement psychorigide ainsi que l'artilleuse calme et badasse. Ce que D Hills n’avait pas réussi à faire, en trois romans. Certaines relations quoiqu'un peu bizarres :
- Spoiler:
- C’est moi ou le lieutenant ainsi que l’héroïne ne se connaissent que depuis une semaine mais on a l’impression que les deux sont mariés depuis 30 ans.
Tout comme la tension romantique/l’effet de camaraderie entre les deux artilleurs du char
Reste assez intéressante. J’ai aussi apprécié le fait que l’auteur se soit forcé à créer un background à tous ces personnages mais surtout à l’héroïne, sa planète d’origine avait d’ailleurs l’air intéressante. Bon par contre son traumatisme de début du roman a vite disparu.
Le dernier bon point de ce bouquin c’est le traitement de l’acceptation des personnages non cadiens. Je remercie l’auteur de ne pas en avoir fait quelque chose d’insipide. J’ai même trouvé ça presque bien traité. En tout cas les raisons de ce racisme anti autre monde bien mieux fait que ce que Justin D.Hills a proposé.
- Style et écriture = 2/5
Je n’étais déjà pas fan du style d’Andy Clark dans la purge qu’était « Sainte Célestine » et je ne suis toujours pas convaincu. Après c’est un avis purement subjectif ici mais même si le roman n’est pas mal écrit je trouve son style d’un platonique.
Les scènes d'action d’écrite ne m’ont pas vraiment intéressé j’avais bien plus préféré les romans d'Haley sur le sujet des chars. Quant aux dialogues, même si cela reste assez correct, certains sont tellement surjoué (oui, oui dans un livre), surtout niveau humour que j’ai trouvé cela peut voir pas naturel.
Et bon instaurer un semblant de tension sur qui va vivre ou non quand on sait déjà au bout de dix pages ce qui va se passer c’est inutile.
- Intérêt fluffique = 3/5
Toujours la même rengaine, Cadia n’est pas morte, acceptation des
Rien de notable en plus. J’aurais aimé plus de démonstration de la force d'un Leman Russ Demolisher.
- Appréciation personnelle = 3/5
Un roman assez particulier à noter au niveau de mon appréciation globale. Car en soi ce n’est pas un bon bouquin. Mais d’un autre côté je n’ai pas passé un mauvais moment non plus. Pour en revenir à mon unique précédente lecture de l’auteur, « Sainte Célestine », là c'était un presque un enfer à lire. Mais ici c’est passé tout seul, je me suis même surpris à lire tard le soir.
Pour en faire une comparaison à des œuvres cinématographiques récentes, disons que je peux affilier cet écrit à certains Marvel, dont certains derniers films. Prenons en exemple Black Panther 2 le film est un navet pur souche (avis personnel) et pourtant après avoir posé mon cerveau sur le siège d’à côté j’ai apprécié le visionnage. Là c’est pareil.
Je ne conseille pas le roman à moins d’avoir rien d’autre à lire. Mais cela peut faire passer le temps.
Noté moyen.
- Note globale = Total des points 11/20
Et malheureusement Andy Clark rejoint pour le moment le cercle très privé des pires auteurs BL mais avec une mention de sympathie contrairement aux autres.
Bon en attendant le roman sur Volpone je vais lire autre chose que du Warhammer.
Rhydysann Premier Capitaine - Messages : 1998
Age : 25
Localisation : Paris
Re: Cortège d'Acier d'Andy Clark
+1 pour ta critique claire et qui va m'éviter une lecture de trop. J'aurais peut-être tenté ma chance sur les romans écris par Andy Clark sur les Chevaliers impériaux, mais vu ce que tu dis de son style je vais passer mon tour sans regrets.
J'étais là, le jour où Horus a tué l'Empereur...
Pour la liste de mes coups de cœur, mes coups de gueule et aussi mes coups de flemme, c'est ici que ça se passe !
Historiae Imperiales Titi Space Marine - Messages : 292
Re: Cortège d'Acier d'Andy Clark
Finis il y a peu à la plage.
Je m'attendais à rien, et je suis quand même...
Non en réalité, je m'attendais à rien et je ne suis pas déçu du tout. L'attente est vraiment un vecteur de satisfaction très important dans les œuvres littéraires, ce pourrait être un sujet à part entière.
Bref déjà, je crois que c'est le deuxième Clark que je lis après son roman Dawn of fire (que j'ai trouvé chiantissime), et ça faisait bien longtemps que je navais pas lu de romans sur la garde, fautes d'auteurs attrayant (à mes yeux). Pas la motive de me taper le pavé de Kyme pour Volpone et je déteste les romans minska Lesk et Severina Raine. D'ailleurs, avant que l'on me traite de sexiste sans bonne raison, j'ai DÉTESTÉ, la féminisation des termes dans ce roman. Les "sergente" ou "colonelle", très peu pour moi.
Je m'égare, je disais qu'hormis Abnett (que je range dans une autre catégorie) je n'avais pas lu de garde depuis trèèès longtemps, et que j'étais curieux de me voir plonger à nouveau dans l'univers des tankiste, que j'avais adoré sous la plume de Haley...
Et ma fois, c'est un bon roman sympathique, sans ambition, si ce n'est celui de raconter une histoire (sujet que l'on oublie parfois).
L'histoire est prévisible, les personnages déjà vu, mais c'est bien écrit et c'est efficace. J'en attendais pas plus, et j'ai passé un bon moment. L'équipage est assez attachant, il y a une évolution des personnages, qui ne sont plus les mêmes à la fin de l'histoire. C'est essentiel, mais finalement de plus en plus rare de nos jours. L'action est dynamique et fluide, et pas trop omniprésente avec quelques scènes très bien sentis (poursuite sur l'autoroute notamment), cinématographiques par certains côtés. D'ailleurs ce roman a un peu côté actionner des années 80, pas déplaisant du tout.
Mention spéciale pour l'antagoniste principal du roman, très reussi, et qui m'a motivé à ressortir deux romans de ma pile de la honte du même auteur.
Je le note "bon" avec un petit 14,5 sur 20.
Je le conseille en lecture détente.
Je m'attendais à rien, et je suis quand même...
Non en réalité, je m'attendais à rien et je ne suis pas déçu du tout. L'attente est vraiment un vecteur de satisfaction très important dans les œuvres littéraires, ce pourrait être un sujet à part entière.
Bref déjà, je crois que c'est le deuxième Clark que je lis après son roman Dawn of fire (que j'ai trouvé chiantissime), et ça faisait bien longtemps que je navais pas lu de romans sur la garde, fautes d'auteurs attrayant (à mes yeux). Pas la motive de me taper le pavé de Kyme pour Volpone et je déteste les romans minska Lesk et Severina Raine. D'ailleurs, avant que l'on me traite de sexiste sans bonne raison, j'ai DÉTESTÉ, la féminisation des termes dans ce roman. Les "sergente" ou "colonelle", très peu pour moi.
Je m'égare, je disais qu'hormis Abnett (que je range dans une autre catégorie) je n'avais pas lu de garde depuis trèèès longtemps, et que j'étais curieux de me voir plonger à nouveau dans l'univers des tankiste, que j'avais adoré sous la plume de Haley...
Et ma fois, c'est un bon roman sympathique, sans ambition, si ce n'est celui de raconter une histoire (sujet que l'on oublie parfois).
L'histoire est prévisible, les personnages déjà vu, mais c'est bien écrit et c'est efficace. J'en attendais pas plus, et j'ai passé un bon moment. L'équipage est assez attachant, il y a une évolution des personnages, qui ne sont plus les mêmes à la fin de l'histoire. C'est essentiel, mais finalement de plus en plus rare de nos jours. L'action est dynamique et fluide, et pas trop omniprésente avec quelques scènes très bien sentis (poursuite sur l'autoroute notamment), cinématographiques par certains côtés. D'ailleurs ce roman a un peu côté actionner des années 80, pas déplaisant du tout.
Mention spéciale pour l'antagoniste principal du roman, très reussi, et qui m'a motivé à ressortir deux romans de ma pile de la honte du même auteur.
Je le note "bon" avec un petit 14,5 sur 20.
Je le conseille en lecture détente.
Anton Narvaez Sergent Space Marine - Messages : 667
Age : 34
Localisation : Savoie
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